Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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De Dion-Bouton Type DH, voiture routière - 1912
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La De Dion-Bouton Type DH, cette ancienne voiture fut produite en 1912,cette De Dion-Bouton a une forme de carrosserie torpédo et une vitesse de pointe de 55 km/h.
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En 1912, la production des tricycles motorisés n’est plus qu’un lointain souvenir. Ces véhicules amusants mais capricieux, démunis de toute protection, n’intéressent plus la clientèle. Aussi, en marge de la fabrication d’automobiles moyennes, légères et grosses, les usines de Dion-Bouton se lancent dans la production de véhicules utilitaires de types très variés.
Le succès de ces poids lourds est énorme, notamment pour des autobus légers mais résistants destinés aux territoires d’Outre-mer (alors appelés « colonies »). Les voitures particulières de Dion-Bouton pour usage quotidien héritent directement de ces solides voitures.
Cette séduisante voiturette constitue l’un des beaux succès de la marque à l’orée du siècle et se vend très bien jusqu’au début des années 20. Sans comporter d’innovations techniques majeures, elle bénéficie d’une construction à toute épreuve et d’une finition soignée. Elle fait honneur à la réputation de solidité que le constructeur a tiré de son succès dans le Pékin-Paris.
Pour obtenir cette fiabilité à toute épreuve, le cahier des charges était catégorique : adopter une technique d’un classicisme absolu, des dimensions suffisantes mais réduites et un allégement grâce à l’emploi de matériaux de haute qualité sélectionnés par Bouton.
Contrairement aux doubles phaétons habituels de Dion Bouton, c’est en limousine que ce modèle est le plus souvent carrossé. Relativement spacieuse compte tenu de la taille limitée du châssis, elle ne manque pas de charme. Un coup d’œil à l’aménagement intérieur permet de découvrir une voiture confortable dont la conception montre une grande attention accordée à la protection des passagers.
En 1910, De Dion lance une voiture dotée d'un V8, premières voitures de luxe à être fabriquée en série allant de 6 à 35 ch.
Après la guerre, la marque décline progressivement et ne produit plus que des taxis, des véhicules utilitaires et quelques quatre-cylindres.
- Firme fondée à Puteaux par le comte A. de Dion et les mécaniciens Bouton et Trépardoux pour produire des véhicules à vapeur.
- Dix ans plus tard, la société se lance dans la production de voitures à essence équipées d'un moteur puissant avec un allumage par bobine et un rupteur mécanique, etc....
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " De Dion-Bouton ", France 1883 - 1932.
Firme fondée à Puteaux par le comte A. de Dion assisté par les mécaniciens Bouton et Trépardoux pour produire des véhicules à vapeur.
Dix ans plus tard, la société se lance dans la production de voitures à essence équipées d'un moteur puissant avec un allumage par bobine et un rupteur mécanique.
En 1899, apparaissent des voiturettes équipées d'un monocylindre transversal de 3.5 ch monté sur un châssis tubulaire et dotées peu après du célèbre essieu De Dion inventé par Trépardoux avant son départ de la société.
En 1905, sort une quatre-cylindres avec un châssis en acier en "U" et un radiateur à alvéoles, tandis que continue la production des voiturettes très prisées à l'époque.
En 1910, De Dion lance une voiture complètement différente dotée d'un V8, l'une des premières voitures de luxe à être fabriquée en série sous des versions allant de 6 à 35 ch.
Après la guerre, la marque décline progressivement et ne produit plus que des taxis, des véhicules utilitaires et quelques quatre-cylindres. En 1923, sort la 10 CV familiale de 1 800 cm3 et en 1930, la dernière De Dion-Bouton : une huit-cylindres en ligne de 2,5 litres avec soupapes en tête.
Source : Encyclopédie des voitures, Edita.
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